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Côte d’Ivoire: les relents d’une guerre civile
Armand Djoualeu
Selon le camp Gbagbo, une attaque a été repoussée par les FDS, Forces de défense et de sécurité, fidèles au président sortant Laurent Gbagbo, épaulées par les milices du Grand Ouest comme le FLGO. Les Forces nouvelles (pro-Ouattara) nient cependant toute responsabilité dans cette attaque
Dans la zone qu’ils contrôlent, les ex-rebelles, les FN, les Forces nouvelles grignotent des positions et ont déjà conquis quatre localités depuis le mois de février.
Depuis la mi-février, les FN ont pris plusieurs villes de l’Ouest ivoirien qui étaient jusque-là contrôlées par les forces armées fidèles à Laurent Gbagbo.
La guerre civile ivoirienne se déroule sur deux fronts, la ville d’Abidjan d’un côté et le Grand Ouest de l’autre.
Depuis leur bastion d’Abobo, situé au nord de la capitale économique ivoirienne, les insurgés progressent en direction de Cocody ou du Plateau, où se trouvent le centre du pouvoir ivoirien, dont la RTI, la télévision publique toujours contrôlée par Laurent Gbagbo.
On a signalé le 16 mars au soir des tirs à l’arme lourde à Yopougon.
Selon certaines informations, les FDS auraient commencé à enregistrer des défections parmi les 55 000 hommes dont elles disposent en théorie.
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